Tip O’Neill a appris à jouer au baseball dans la salle de réception e l’hôtel dirigé par ses parents à Woodstock (Ontario) pendant sa jeunesse. Après avoir excellé localement, nationalement et internationalement avec des équipes itinérantes, le talentueux canadien a été embauché par les Metropolitans de New York de l’Association américaine.
Souvent surnommé le Babe Ruth canadien, Tip a fait ses débuts dans les Majeures comme lanceur le 5 mai 1883. Un formidable lanceur comme le démontre sa moyenne de points mérités de 3,39, O’Neill a cependant été ennuyé rapidement par des maux de bras. Heureusement, il était aussi capable de se défendre au bâton, suffisamment pour convaincre les Browns de Saint-Louis de l’engager au poste de voltigeur.
It was in the Gateway City that O’Neill would become one of Major League Baseball’s early Triple Crown winner in 1887. In that magical campaign, he set big league marks in hits, doubles, slugging percentage and total bases. His batting average was an astounding .492 (walks were included as hits that season, but even without the walks, his average was .435). Largely due to his hitting heroics, the Browns would capture four consecutive American Associations Championships from 1885 to 1888.
Il est l’un des meilleurs Canadiens à avoir jouer dans les Ligues majeures encore à ce jour. Le Temple de la renommée et musée du baseball canadien remette d’ailleurs le prix Tip O’Neill au joueur canadien qui a le plus excellé individuellement et qui a contribué au succès de son équipe en plus d’être un exemple sur et à l’extérieur du terrain.
Statistiques en carrière dans les Ligues majeures
MJ | AB | P | CS | 2B | 3B | CC | PP | BT | BB | RAB | BV | OBP | SLG | MOY |
1052 | 4248 | 879 | 1385 | 222 | 92 | 52 | 757 | 1947 | 420 | 194 | 161 | .392 | .458 | .326 |
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